Le dolmen est ruiné. La table de couverture est renversée et repose en partie sur le sol. Deux autres dalles sont encore visibles. Deux pierres, dont la table de couverture, sont de couleur rouge,la troisième de couleur blanche[2].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Jean-Sébastien Pourtaud et Yves Olivet, Dolmens, menhirs, tumulus et pierres de légendes de Charente-Maritime, Rioux-Martin, Le Croît Vif, , 231 p. (ISBN9782361995294), p. 134