Il abandonne la peinture qu'il pratique à l'atelier de Paul Delaroche, pour entrer au Conservatoire. Il obtient quelques succès à l'Odéon et à l'Ambigu-Comique et est engagé, en 1830, au Théâtre-Français où il aborde presque tous les grands rôles de la tragédie classique.
Professeur au Conservatoire de Paris de 1839 à 1872, Il s'essaye avec moins de succès comme auteur dramatique en écrivant un drame, Caïn, 1830 et deux tragédies, Robert Bruce, 1847, et le Dernier des Abeucerages, 1851[2].
↑Ch. Dezobry & Th. Bachelet, Supplément au Dictionnaire Général de Biographie et d'Histoire, Paris, Librairie Ch. Delagrave, , p. 30 Beauvallet (Pierre-François)