Fin 2001, il intègre ISL Ingénierie comme chef de projets. Il dirige l'établissement angevin de l'entreprise de 2005 à 2012. Il pilote notamment des évaluations de politiques publiques[6],[7].
Il démissionne du bureau d'études ISL ingénierie en afin d'éviter tout conflit d'intérêts entre son mandat de député et ses fonctions de conseil auprès des services de l'État.
Parcours politique
Philippe Bolo s'installe à Avrillé (Maine-et-Loire) en 2002. Il entre au conseil municipal de la ville, comme conseiller municipal, lors des élections de [8]. Il est responsable de la ceinture verte et pilote l'aménagement de nouveaux jardins familiaux inaugurés en [9].
En , réélu conseiller municipal d'Avrillé[10], il entame son second mandat comme adjoint au maire chargé des projets éducatifs et de la parentalité[11]. Il est notamment responsable de la mise en œuvre de la Réforme des rythmes scolaires pour la commune[12].
En , il est élu vice-président du syndicat intercommunal d'énergie de Maine-et-Loire[13] chargé du développement des énergies renouvelables, de la maîtrise de la demande d'énergie et de l'approvisionnement énergétique.
En , il est investi comme candidat MoDem-LREM pour la 7e circonscription de Maine et Loire. Il arrive en tête au premier tour le et remporte l'élection le face au candidat Les Républicains[15],[16]. Député de la majorité présidentielle, il est inscrit au groupe MoDem[17]. Il est membre de la commission des Affaires économiques[18].
Il démissionne fin de ses fonctions d'adjoint au maire — tout en restant conseiller municipal d'Avrillé — et de vice-président du Siéml pour respecter la loi sur le cumul des mandats.
En 2020, il est à nouveau candidat aux élections municipales[19].
Après la dissolution de l'Assemblée nationale en 2024, il est réélu en remportant le second tour avec 41,73% des voix dans une triangulaire contre un candidat socialiste et un candidat du Rassemblement national[20].