Il est d'abord élève à l'École des Beaux-Arts de Lyon, puis à celle de Paris où il est l'élève de Jules-Élie Delaunay et de Gustave Moreau[2]. Il a participé aux Salons avec des sujets religieux, mythologiques, des portraits et des paysages[2]. Il faisait également partie de la chorale des Chanteurs de Saint-Gervais[2]. Le goût de Gustave Moreau pour les peintres primitifs se retrouve dans les œuvres de Vigoureux ; notamment L'Enfant prodigue, présenté au Salon de la Rose-Croix de 1897[3]. Charles Ponsonailhe remarque à propos de ce tableau qu'il exprime « certains sentiments de l'âme très difficiles à rendre » et Moreau profite de l'occasion pour recommander Vigoureux et Rouault à Henri Delaborde pour le Prix de Paris, en les définissant comme « deux jeunes gens pleins de mérite »[3].
Œuvres
Enfant prodigue, Salon des artistes français de 1895[4]
↑ a et bCristina Scassellati Cooke, « The Ideal of History Painting: Georges Rouault and Other Students of Gustave Moreau at the Ecole des Beaux-Arts, Paris, 1892-98 », The Burlington Magazine, vol. 148, no 1238, , p. 332–339 (ISSN0007-6287, lire en ligne, consulté le )
↑« Base Salons », sur salons.musee-orsay.fr (consulté le )
↑« Base Salons », sur salons.musee-orsay.fr (consulté le )
↑« Base Salons », sur salons.musee-orsay.fr (consulté le )
↑« Base Salons », sur salons.musee-orsay.fr (consulté le )
↑« Base Salons », sur salons.musee-orsay.fr (consulté le )
↑« Base Salons », sur salons.musee-orsay.fr (consulté le )
Bibliographie
Cristina Scassellati Cooke, « The Ideal of History Painting: Georges Rouault and Other Students of Gustave Moreau at the Ecole des Beaux-Arts, Paris, 1892-98 », The Burlington Magazine, vol. 148, no 1238, , p. 332–339 (ISSN0007-6287, lire en ligne, consulté le )