Il est conseiller municipal de Toulouse en 1865. Aux élections de 1869, il échoua à se faire élire député de l'opposition dans la Haute-Garonne, et fut élu en 1871 et 1876. Vice-président du centre gauche, il est en mai 1877 l'un des signataires du manifeste des 363[1]. Il est battu en , mais l'élection ayant été invalidée, il est réélu à l'élection partielle, en 1878. Il est élu sénateur de la Haute-Garonne en 1879 et reste en poste jusqu'à son décès, malgré une baisse d'activité après un accident de santé en 1889. Sa femme Martine était d'origine danoise.