Patrick Arabeyre est admis à l'École nationale des chartes à l'issue du concours d'entrée de 1982[1]. Il y obtient le diplôme d'archiviste paléographe en 1987 après avoir soutenu une thèse d'établissement intitulée Les écrits politiques de Bernard de Rosier (c. 1400-1475), archevêque de Toulouse (1462-1475)[2].
En 1999, il obtient un doctorat en histoire du droit à l'Université de Bourgogne avec une thèse intitulée Les idées politiques à Toulouse à la veille de la Réforme : recherches autour de l'œuvre de Guillaume Benoît (1455-1516), canoniste et rédigée sous la direction de Jean Bart[4]. Le , il est détaché en tant que chargé de recherche au CNRS et affecté au Centre Georges Chevrier, laboratoire interdisciplinaire de recherche sur les sociétés, les sensibilités et le soin[5]. Il obtient une habilitation à diriger des recherches (HDR) en 2005 à l'Université Toulouse-I-Capitole, avec pour sujet « Historiographie, idées politiques et enseignement du droit en France (XIVe siècle—XVIe siècle) »[6].
Deuxième prix Gobert de l'Académie des inscriptions et belles-lettres pour l'ouvrage Les idées politiques à Toulouse à la veille de la Réforme : rechercher autour de l’œuvre de Guillaume Benoît (1455-1516) (2004)[9].
Publications
Atlas de Cîteaux, Précy-sous-Thil, L'Armançon, 1998 (BNF37083768).
↑« parabeyr », sur École nationale des chartes (consulté le )
↑Bernard Guenée, « Rapport de la Commission du prix Gobert ; lu dans la séance du 23 janvier », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, no 148 (1), , p. 166 (lire en ligne, consulté le ).