Il était auparavant ministre du Développement depuis [3].
Le , il est nommé ministre d'État et secrétaire général à la présidence de la République par le président Patrice Talon nouvellement élu[4].
Biographie
Après une maîtrise en sciences économiques, planification, économétrie et statistiques à l’université nationale du Bénin, il obtient en 1977 un diplôme d'études supérieures spécialisées en analyse de projets à l'Institut d'études de développement économique et social de l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, puis le diplôme supérieur en banque et finance, spécialisation théories macroéconomiques, banque, monnaie et crédit au Centre de formation de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), institution au sein de laquelle il occupera de 1979 à 1990 plusieurs fonctions telles que celles d'économiste principal, de directeur et d'assistant du gouverneur.
De à , il a été directeur adjoint de cabinet du Premier ministre de la Côte d’Ivoire. De février à , il a été directeur au secrétariat général de la Commission bancaire de l'Union monétaire Ouest africaine. En , il devient conseiller du directeur adjoint du Fonds monétaire international.
En , il est nommé directeur de cabinet du Premier ministre du Bénin. En 1998, après la démission de ce dernier, Pascal Koupaki retourne à la BCEAO, où il poursuivra sa carrière occupant les postes de directeur des études, de directeur du développement des études économiques et de la monnaie et de conseiller spécial du gouverneur. À ce dernier titre, il était membre du Gouvernement de la BCEAO jusqu'à son départ définitif de la banque, en .
Le président de la république du Bénin, élu en , le nomme ministre du Développement, de l'Économie et des Finances. En , il devient ministre d'État chargé de la Prospective, du Développement, de l'Évaluation des politiques publiques et de la Coordination de l'action gouvernementale. En , il est nommé Premier ministre chargé de la Coordination de l'action gouvernementale, de l'Évaluation des Politiques publiques, du Programme de dénationalisation et du Dialogue social. Il occupe cette fonction jusqu'en .