Album de la « résurrection » pour Le Forestier après presque dix années de passage à vide et alors que beaucoup le pensait has-been, Né quelque part marque le grand retour de l'artiste[1], notamment grâce à la chanson-titre et Ambalaba, chansons aux rythmes africains, dont les succès en singles relancent sa carrière. Vendu à 600 000 exemplaires[3], l'album est certifié disque d'or en 1988 (pour plus de 100 000 exemplaires vendus) et double disque d'or en 1989 (pour plus de 200 000 exemplaires)[4].
↑Fabien Lecoeuvre, Le petit lecoeuvre illustré : Dictionnaire. Histoire des chansons de A à Z, , 536 p. (ISBN978-2-268-08052-9, lire en ligne), p. 540.