Pour cet album, Maxime Le Forestier s'adjoint les services du compositeur Jean-Pierre Sabard, qui avait travaillé pour Serge Gainsbourg, et qui compose deux titres de l'album (Les Jours meilleurs, musique co-écrite avec Le Forestier et Coïncidences) et Jean-Pierre Kernoa qui compose un titre. L'album marque un tournant dans la carrière du chanteur, puisqu'il est entièrement enregistré avec des synthétiseurs analogiques[3]. Toutefois, l'album sort dans l'indifférence générale de la part du public, en raison de ce changement radical de style musical[3].
En 1997, les titres Les Jours meilleurs et La Salle des pas perdus figureront sur le best-of Essentielles.