Il est ordonné prêtre en 1897. Il est soupçonné d'avoir eu une liaison avec une paroissienne et doit donc précipitamment quitter la prêtrise. Il émigre un temps au Mexique ; à son retour il ouvre un bar à Périgueux qui lui vaudra son surnom de curé bistrot. En 1905, il milite pour la loi de séparation des Églises et de l'État et fabrique des centaines de cartes postales satiriques à ce propos[6].
Bibliographie
François Perroy et Henri Brives, Moi, Noë Chabot, curé-bistrot, Copédit, 1986 (ISBN978-2906030039).
Guillaume Doizy, « Les cartes postales satiriques de l’abbé Noé Chabot : quand la photographie s’inspire de la caricature dessinée et cherche son autonomie », Ridiculosa, no 17, Caricature et photographie, 2010.