Max et Lou forment un couple heureux et épanoui. Pour confirmer cet amour, le couple cherche à adopter un enfant. Malheureusement pour eux, l'administration leur fait comprendre que s'ils veulent une chance réelle d'adoption, le mariage est nécessaire.
Toutefois, le couple n'est pas le plus désireux quant à s'unir devant le maire. Après réflexion, ils se disent que ce n'est qu'une formalité : un petit mariage, rien qu'entre eux et leurs deux témoins, et l'affaire est entendue. Mais bientôt, familles et amis s'invitent aux festivités, et de 4, ils finissent 300.
Fiche technique
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En France, le site Allociné donne la note de 1,7⁄5, après avoir recensé 3 critiques de presse[1].
La presse n'est pas du tout emballée par la sortie du film. Catherine Painset (La Voix du Nord), demande que l'on reconnaisse à « Frédéric Quiring, réalisateur coutumier de comédies paresseuses (Ma reum, La Très Très Grande Classe), outre sa constance, cette brillante idée : le prétexte du document amateur, immortalisant le mariage, l’autorise à filmer absolument n’importe comment. Pour le reste, c’est criard, dénué d’esprit, prévisible et faussement transgressif. »[2].
Pour la rédaction du Parisien, Notre tout petit petit mariage est « filmé de façon aléatoire, joué sans grande conviction ou en forçant le trait selon les cas, il pêche surtout en plantant à mi-chemin son vrai sujet – un événement intime qui tourne à la fête XXL chaotique – pour nous servir des digressions éculées sur les mensonges dans le couple. »[3].
Pour Marion Michel (Télérama), le film « crie très très fort ». D'une manière générale, dans le film « tout est trop ». Pour elle, l'intervention du traiteur indien au début du film « « ça pue caca petit mariage » aurait dû nous mettre la puce à l'oreille ». Au final, « tout ce qu’on voit à l’écran provient donc d’images tournées par les personnages dans le film, de l’objectif du téléphone à celui du Caméscope, en passant par des appels FaceTime. Mais ce qui semblait une idée sympa pour dépoussiérer dragées et pièce montée se révèle artificiel, usant et lassant. »[4].
Box-office
Pour son premier jour d'exploitation en France, Notre tout petit petit mariage a réalisé 37 724 entrées, dont 12 685 en avant-premières, pour un total de 1 761 séances proposées, ce qui correspond à la même échelle de grandeur que le précédent long-métrage du réalisateur, La Très Très Grande Classe[5]. En comptant pour ce premier jour les avant-premières, le film se positionne en première place du box-office des nouveautés pour sa journée de démarrage, devant Le Jeune Imam (25 117)[6].
Au bout d’une première semaine d’exploitation dans les salles françaises, le long-métrage totalise 178 545 entrées, pour une cinquième place au box-office hebdomadaire, derrière La Vie pour de vrai (196 249) et devant Evil Dead Rise (167 421)[7].