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Il joue comme musicien de studio sur de nombreux albums, anglais ou américains, de rock ou de pop des années 1960 au début des années 1990, notamment avec les Rolling Stones[1].
Nicky Hopkins commence à travailler avec les Rolling Stones en 1966, sur l'album Between the Buttons. Sa collaboration avec le groupe dure jusqu'à l'album Black and Blue (1976) (bien qu'il apparaisse dans les crédits de l'album Tattoo You en 1981, les chansons dans lesquels il joue datent d'avant 1976). Durant cette période, il apparaît surtout sur les ballades du groupe, comme She's a Rainbow, tandis que Ian Stewart tient les claviers sur les titres plus rock. Hopkins joue parfois sur scène avec les Rolling Stones au début des années 1970, lorsque son état de santé le lui permet. C'est lors des sessions de l'album Let It Bleed qu'est enregistré Jamming with Edward!, une collection de jams avec Hopkins, Ry Cooder, Bill Wyman, Charlie Watts et Mick Jagger qui sort en 1972.
Nicky Hopkins décède en 1994 des complications d'une précédente chirurgie intestinale à 50 ans.