Il a été président de la Cour suprême de 2014 à 2018, dont il a été membre pendant près de dix ans[1]. Il s'est notamment opposé à l'instauration de l'état d'urgence par l'ancien président Pervez Musharraf en 2007[2]. Il a aussi prononcé en 2012 la destitution de l'ancien Premier ministre Youssouf Raza Gilani pour avoir refusé d'ouvrir une enquête au sujet du président Asif Ali Zardari[1] et l'a condamné pour « outrage à magistrat »[2].
Le mandat du Premier ministre sortant Shahid Khaqan Abbasi prend fin le , jour de la fin de la législature. En vertu de la Constitution du Pakistan, un gouvernement électoral est nommé, en attendant les élections législatives du 25 juillet. Le , Nasir-ul-Mulk, considéré comme une figure respectée[3], est désigné Premier ministre[1] et prend ses fonctions le .