Il disparaît corps et biens le au large des côtes tunisiennes après avoir sauté sur une mine[3]. Les Italiens revendiquèrent sa perte le mais il est probable que le Narval ait sauté sur une mine mouillée dans un champ de mines défensif français.
Le Narval rejoint l'épave de son sister ship le Morse, disparu dans les mêmes circonstances, six mois auparavant.
Son épave a été repérée en par un bâtiment releveur d’épaves. Elle repose par 40 mètres de fond au large des îles de Kerkennah en Tunisie.
Une stèle rend hommage à l’équipage du Narval. Elle située sur l’esplanade bordant le château de la Préfecture maritime de Brest.
(en) Robert Gardiner et Roger Chesneau, Conway's All the World's Fighting Ships (1922-1946), [détail de l’édition]
Hugo Ben, Le sous-marin Narval de la Drôle de guerre à la France Libre (septembre 1939 - décembre 1940), Université Paul Valéry – Montpellier 3, (lire en ligne).