Agoniste des récepteurs de l'acide γ-aminobutyrique, elle induit une léthargie suivie d'une frénésie (en affectant le système nerveux central)[4]. La consommation provoque des dommages visuels, une confusion mentale et une perte de mémoire[5].
↑M. R. Lee, E. Dukan et I. Milne, « Amanita muscaria (fly agaric): from a shamanistic hallucinogen to the search for acetylcholine », The Journal of the Royal College of Physicians of Edinburgh, vol. 48, no 1, , p. 85–91 (ISSN2042-8189, PMID29741535, DOI10.4997/JRCPE.2018.119, lire en ligne, consulté le )
↑Robert Alan Lewis, Lewis' Dictionary of Toxicology, CRC Press, (ISBN978-0849366079), p. 719.