C'est l'une des rares espèces d'arbres qu'on ne trouve que sur les hauts plateaux du Cameroun. À l'intérieur de cette zone, elle est assez répandue, mais en général plutôt rare[2].
Bibliographie
(en) Martin Cheek, Jean-Michel Onana and Benedict John Pollard (ed.), The plants of Mount Oku and the Ijim Ridge, Cameroon: a conservation checklist, Royal Botanic Gardens, Kew, Richmond, 2000, p. 149 (ISBN1-8424-6016-1)
(en) Martin Cheek, Yvette Harvey et Jean-Michel Onana, The plants of Dom, Bamenda Highlands, Cameroon : a conservation checklist, Kew Publishing, Kew, Richmond, 2010, p. 82 ; 100 ; 135 (ISBN9781842463987)
Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 136
(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Morella arborea (Hutch.) M. Cheek », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 231-232 (ISBN9781842464298)
↑Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 136