Le , le ministère des Communications est établi par fusion du Bureau des Postes et de la Maintenance des relais postaux avec le Bureau naval (anciennement sous la juridiction du ministère de l'Agriculture et du Commerce, et le bureau du télégraphe et celui de la gestion des phares sont retirés du ministère de l'Industrie. Le , le ministère est chargé de la gestion de l'industrie électrique japonaise à peine naissante. Le , le Bureau des Chemins de fer est transféré au ministère des Communciations depuis le ministère de l'Intérieur et, le , le ministère est chargé de la supervision des entreprises de transport terrestre et maritime.
Cependant, le , le Bureau des Chemins de fer est séparé pour devenir un organisme indépendant rapportant directement au gouvernement.
Ère Shōwa
En , la responsabilité de la gestion de l'aviation civile est transférée au ministère des Communications depuis le ministère de l'Armée. Avec la création du ministère des Chemins de fer en , la supervision de tous les transports terrestres est retirée du ministère des Communications. Avec l'établissement en du ministère de la Santé et du Bien-être, toutes les affaires relatives au programme d'assurance postale sont transférées au nouveau ministère, bien que le ministère des Communications garde le contrôle des bureaux de poste et du système postal. En , un conseil externe d'affaires maritimes est établi et reprend le bureau de la gestion des phares.
Le , le ministère des Communications fusionne avec le ministère des Chemins de fer pour devenir le ministère des Communications et du Transport. La production d'électricité et d'avions est transféré au ministère des Munitions. La poste, le téléphone et le télégraphe, les bureaux de banque et d'assurance sont placés sous la supervision de l'Institut des Communications, où les questions relatives au transport sont gérées par le Directorat général du transport maritime.
En , l'Institut des Communications devient le Conseil des Communications, rapportant directement au gouvernement, et le ministère des Communications et des Transports est renommé en Ministère du Transport.
W.G. Beasley, The Rise of Modern Japan : Political, Economic, and Social Change since 1850, Palgrave Macmillan, , 322 p. (ISBN0-312-23373-6)
Richard J Samuels, Rich Nation, Strong Army : National Security and the Technological Transformation of Japan, ornell University Press, (ISBN0-312-23373-6)
(en) Christopher Howe, The Origins of Japanese Trade Supremacy : Development and Technology in Asia, Londres, C Hurst Publishing, , 471 p. (ISBN1-85065-221-X, lire en ligne)