En 2022, il est récipiendaire du prix Bulot d'or, prix des débutants décerné lors du weekend de bande dessinée d'Ostende pour Centralia[2],[5] sous la présidence de Mario Boon[6]. Ce prix lui vaut également une exposition à la bibliothèque Kris Lambert d'Ostende[6].
Ce premier volume est bien reçu et connaît des traductions en français sous le titre éponyme, publié aux Éditions Albin Michel[7] et en anglais publié par Living the Line Books en 2023[8].
Dystopolis
Il sort son deuxième roman graphique Dystopolis[8] en . Il conte l'histoire d'un tueur qui revient tous les cinq ans dans la ville de Dystopolis : le Cannibale. Cette fois, il arrive avec plus de force que jamais et il a bien l’intention de ne pas partir cette fois-ci. Lorsqu'un policier souffrant d'anxiété est associé à un jeune stagiaire nouvellement arrivé en ville, ils deviennent rapidement les derniers à pouvoir arrêter le mal[8]. Selon le chroniqueur Hans van Soest du site Negende Kunst [« 9e Art »] : « Tout comme dans Centralia, Vandepitte affiche sa préférence pour le pulp et l'architecture. Puis il s'est laissé aller à un western steampunk rempli de créatures fantastiques bizarres, se déroulant dans une grande ville devenant de plus en plus invivable. Avec Dystopolis, il mélange désormais histoire policière, science-fiction et horreur[8]. »
En outre, il contribue à l'ouvrage de Sander Grip intitulé Rotterdam stripstad : 100 jaar strips in de stad traitant des 100 ans de bande dessinée dans la ville de Rotterdam[9] ainsi qu'à l'ouvrage édité par la fondation Marc Sleen : De knalgele kubus en 2023.
Autres activités
Parallèlement, il continue à travailler comme illustrateur indépendant et à étudier le design3D[1].
↑ ab et cAlexis Seny, « À Centralia, entre cowboys, gros nez sur échasses, freaks et weird, dans la ville déclassées, le maître-mo(r)t de Miel Vandepitte est de ne pas tomber », Branchés Culture, (lire en ligne, consulté le ).
↑ abcd et e(nl) Hans van Soest, « Dystopolis van Miel Vandepitte is een grafische triomf », Stripspeciaalzaak, (lire en ligne, consulté le ).
↑Mélanie Huchet, « «Centralia» de Miel Vandepitte: Une course sous acide au cœur d’une ville apocalyptique », Les Plats Pays, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Agenda : Exposition-vente virtuelle Miel Vandepitte - Centralia - Galerie de la Bande Dessinée (Bruxelles) », ActuaBD, (lire en ligne, consulté le ).