La flore intestinale est un bon exemple de mutualisme, qui voit la coopération entre différentes sortes d'organismes impliquant un avantage pour chacun.
Les avancées en matière de séquençage ont permis d'identifier les espèces dominantes du microbiote intestinal humain, de caractériser l'écosystème correspondant et d'aider au diagnostic de certaines pathologies[1].
Certains insectes sociaux pratiquent la trophallaxie — par exemple les fourmis ouvrières, les abeilles et les guêpes ouvrières pratiquent la trophallaxie stomodéale ; d’autres telles que les termites[2] et les blattes du genre Cryptocercus(en) pratiquent la trophallaxie proctodéale —, ce qui a pour effet d’échanger et renouveler en partie leur flore intestinale.
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↑« Impact des nouveaux outils de métagénomique sur notre connaissance du microbiote intestinal et de son rôle en santé humaine », Medecine/sciences, vol. 32, no 11, , p. 944-951 (DOI10.1051/medsci/20163211009, lire en ligne, consulté le ).