Après une enfance près de Roanne, Michel Cressole suit des études de lettres à Paris. Dans les années 1970, il milite au sein du FHAR.
En 1978, il entre au quotidien Libération, où il est critique de télévision, et auquel il collaborera jusqu’à sa mort[1]. Journaliste, il aborde plusieurs autres sujets, dont la mode[2].
↑« […] Michel Cressole avait redonné à la critique de mode ses lettres de noblesse, en l'incluant dans un cadre bien plus large que celui de la mode, parce qu'il écrivait également sur la littérature, le cinéma, l'art. »in : Laurence Benaïm, Azzedine Alaïa, le Prince des lignes, Paris, Grasset, coll. « Documents Français », , 160 p. (ISBN978-2-246-81055-1, présentation en ligne), « Anatomie du temps », p. 119