Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Officier du détachement des troupes de la marine et aide-major de Québec. Il épouse Angélique des Méloizes, fille de Nicolas Renaud d'Avesnes des Méloizes, seigneur de Neuville et capitaine des troupes de la marine et d'Angélique Chartier de Lotbinière le à Québec, Capitale-Nationale. Avec sa femme, ils émigrent vers la France en 1760 à bord du Fanny.
Associé avec l'intendant François Bigot dans le commerce colonial, il sert d'intermédiaire entre Bigot et la famille Gradis dans le ravitaillement du Canada entre 1757 et 1758.
Avec Nicolas Renaud d'Avesnes des Méloizes et l'intendant François Bigot, les trois hommes sont accusés dans l'affaire du Canada. Emprisonnés à la Bastille en . Leur procès s'ouvre le à l'issue duquel Péan est condamné à restituer 600 000 livres et à rester à la Bastille jusqu'à ladite restitution vers 1765.
Il achète le château d'Onzain, ainsi qu'un hôtel en 1766 à Blois.
Angélique-Renée-Françoise Péan de Livaudière, née à Québec le . Elle épouse le marquis de Marconnay, colonel d'infanterie, grand prévôt du Pas-de-Calais, le . Elle meurt sans postérité en .
Louis Le Jeune, Michel-Jean-Hugues Péan», dans Dictionnaire général de biographie, histoire, littérature, agriculture, commerce, industrie et des arts, sciences, mœurs, coutumes, institutions politiques et religieuses du Canada, Vol. II, Ottawa, Université d’Ottawa, 1931, 829 pages., p. 415-416. Consultable ici
Aubry, Mémoire pour Michel-Jean-Hugues Péan, … accusé, contre M. le procureur général du roi en la commission, accusateur, Paris, 1763, lire en ligne sur Gallica