En 1992, un premier album solo voit le jour. Marka signe chez Columbia France en pour trois albums et sort en 45T deux des titres : Accouplés et La Poupée Barbue.
En 1997, il sort L'Idiomatic.
Après la sortie de l'album L'homme qui aimait la scène en 1998, une version revue de Caroline de MC Solaar voit le jour.
En 2001 sort l'album Avant-Après avec Letches Bong, Comment te le dire et Je parle.
En 2002, il reprend Mon père et ses verres de Boby Lapointe sur l'album Boby Tutti-Frutti - L'Hommage délicieux à Boby Lapointe de Lilicub.
Il enregistre en 2003 un best of qui sort sous le nom de C'est tout moi. Il reprend en 2004 You Don't Know What It's Like To Be Alone In The House pour la compilation de The Bowling Balls[pertinence contestée].
En , il commence sa tournée Aktion Man qui passe par Tokyo, Pékin et Hanoï avant de rejoindre la Belgique[4].
En 2008 naît, de la fusion entre Marka et le groupe cubain de La Sonora Cubana, un nouvel album produit par Havana Club[réf. souhaitée]. Yo hablo en est le premier single.
Marka profite de ses concerts à l'étranger pour réaliser des documentaires[1]. À ce jour[Quand ?], il en a trois à son actif : Señor Marka, Si j’étais japonais et Laisse-moi chanter ta chanson.
En 2018, son titre It’s only football est plébiscité sur les réseaux sociaux pour servir d'hymne aux Diables rouges, ceux-ci n'ayant plus d'hymne après la controverse relative au rappeurDamso[8].
En 2022, il participe à Peur sur la ville, sur l'album de Princess ErikaJ'suis pas une sainte.
Vie privée
Marka est marié avec la comédienneLaurence Bibot. Ils sont les parents du rappeur Roméo Elvis (évoqué dans "La berceuse de Kiki" dans l'album "Merci d'avance") et de la chanteuse Angèle (évoquée dans le titre éponyme dans l'album "L'idiomatic")[9].
Marka est un surnom qui vient d'un t-shirt avec une publicité pour le Marcassou (un saucisson d'Ardenne belge) qu'il mettait souvent à l'époque « punk »[10]. Ses amis l'ont ainsi surnommé "Marka". Des fausses informations quant à l'origine de ce surnom sont nées du chanteur lui-même qui, pour s'amuser, a donné des explications fantaisistes à des journalistes français, notamment du Monde, évoquant un surnom provenant du swahili ou du parler bruxellois[11].