Maquis Bir-Hakeim

Stèle mémoriale au hameau de Douch (Rosis).

Le Maquis Bir-Hakeim est un groupe de résistants français né pendant la Seconde Guerre mondiale. Il était situé dans le sud du Massif central, entre le sud de l'Aveyron, l'Hérault, les Cévennes et le Rhône. Ce maquis est célèbre pour son audace, sa mobilité, sa forte structuration militaire mais aussi pour les tragédies qui ont émaillé son histoire. Son nom rappelle la bataille de Bir Hakeim, victoire de la 1re brigade française libre en Libye[1].

Histoire

Créé durant l'été 1942, par le commandant Rigal, chef de l'Armée secrète de Toulouse et Jean Capel qui appartenait au mouvement Combat, il fut rejoint par Coucy, un instituteur de Montpellier, à la disparition de Rigal[2], et par Darrénougué.

Jean Capel, dit "Commandant Barot".

En mars 1943, son chef Jean Capel (plus connu sous le pseudonyme de commandant Barot) estime que la propagande ne suffit plus : la mise en place du STO créant des réfractaires, des jeunes clandestins qu'il faut protéger et transformer en combattants potentiels. Avec les frères Marcel et Christian de Roquemaurel (alias R.M), il met sur pied un premier groupe de maquisards avec des jeunes étudiants issus de Toulouse, des ouvriers, des employés et des républicains espagnols.

Bien qu'affilié par la suite aux MUR, il est de fait totalement indépendant, ce qui n'est pas sans conséquence sur son comportement puisqu'il détermine seul ses objectifs et ses actions. S'il est également membre du Parti communiste, ses liens avec l'appareil du parti semblent avoir été inexistants dans la période où il commande le maquis Bir-Hakeim et ses conceptions de l'action armée divergent sensiblement de celles des communistes[3].

Des chefs de grande valeur

Statue du commandant Demarne (1904-1944) à Canet.

Le commandant Barot, bien que n'étant pas un militaire de carrière, en est le chef incontesté. Son charisme, sa prestance, son talent oratoire, son sang-froid en font un grand meneur d'hommes. Il a su s'adjoindre des hommes de valeur tels Darrénougué, qui se chargera de la tâche difficile de l'intendance ou son adjoint, le capitaine Demarne, un officier de l'armée secrète. Celui-ci lui succédera à sa mort.

Un perpétuel déplacement

Le maquis Bir-hakeim s'installe d'abord au hameau de l'Estibi, dans la région de Villefranche-de-Rouergue en Aveyron, avant de partir fin août sur le plateau de Douch, dans le massif montagneux de l'Espinouse dans l'Hérault où il livre un des premiers combats importants de la Résistance. Après cette attaque, le groupe de résistants se réfugie sur le plateau de Bénou aux Eaux-Bonnes, dans les Pyrénées-Atlantiques en pleine zone interdite car situé tout près de la frontière espagnole. Ne pouvant de ce fait y rester longtemps, le groupe rejoint la région de Pont-Saint-Esprit dans le Gard rhodanien où il change régulièrement de campement.

Là, il se renforce en effectif avec l'arrivée de nombreux réfractaires au STO, en armement grâce à des parachutages, des récupérations d'armes de l'armée d'armistice ou sur l'ennemi. Effectuant de nombreux coups de main à bord de ses véhicules (voitures et camions), il voit son prestige grandir auprès de la population locale. Le maquis renforce nettement son aspect militaire (uniformes, entrainement rigoureux, discipline stricte[4]). La pression des Allemands grandit, notamment après la tragédie des Crottes à Labastide-de-Virac où 16 civils furent massacrés par l'occupant[5]. Aussi, à la mi-, le commandant Barot négocie avec les maquis cévenols le transfert de son groupe, qui compte désormais plus d'une centaine d'hommes, vers la basse Lozère. Le passage des « biraquins » à Pont-Saint-Esprit et Bagnols-sur-Cèze a pour conséquence des représailles sur les populations civiles ; la Gestapo s'acharnant à retrouver toutes les complicités.

Dans le véritable fief maquisard que sont les vallées cévenoles (vallée borgne, vallée française, vallée longue), Barot essaie de fédérer les différents maquis. Adepte de l'action immédiate, son audace effraie les chefs des maquis locaux tandis que le panache du maquis Bir-Hakeim séduit la troupe. La « petite armée » est, entre autres, rejointe par les membres du maquis Montaigne, un maquis d'antifascistes allemands dirigé par le communiste Otto Kühne.

Une alerte mal comprise et une négligence conduit les « biraquins » à anéantir une patrouille de la Feldgendarmerie à Saint-Étienne-Vallée-Française (Lozère), les 7 et . Cela déclenche une vaste opération des Waffen SS. Le maquis réussit à y résister puis à échapper à l'encerclement au prix d'une certaine dispersion. Néanmoins, les chefs résistants cévenols obligent Barot à quitter la région : ils l'accusent de mettre en danger, par sa témérité, la population locale et les nombreux persécutés cachés par les Cévenols. Ils lui reprochent aussi ses relations avec un agent double de la Gestapo.

Le groupe dont la chance semble avoir tourné, se déplace dans le nord de l'Hérault puis sur les contreforts de l'Aigoual. Il est de plus en plus pourchassé par la milice et les GMR et ce d'autant plus que son chef rechigne à combattre d'autres Français. La nuit du 25 au , le groupe évacue l'Aigoual avec pour point de ralliement le village de La Parade sur le Causse Méjean.

La tragédie de la Parade

Stèle du col de la Tourette à Badaroux, où furent fusillés les 27 prisonniers.
Ferme de La Borie, non loin de La Parade, où le commandant Barot avait installé son état major.

À l'arrivée sur les lieux le , de nombreux maquisards retardés ne sont pas encore là. Le groupe, fatigué, tarde à mettre en place ses dispositifs d'alerte et de défense habituels. Or la traversée de Meyrueis par le convoi de camions n'est pas passée inaperçue. Avertie, la gendarmerie locale en a informé le préfet[6] qui transmet l'information à l'occupant. C'est la première fois que l'état-major allemand à Mende dispose d'informations récentes. Il décide d'attaquer dès le 28, jour de la Pentecôte, avec la légion arménienne[7]. Les guetteurs sont surpris et tués sans pouvoir donner l'alerte. Le commandant Barot est tué. Ceux qui n'ont pu fuir se rendent. 34 maquisards sont tués au cours des combats, dont 8 fusillés comme franc-tireurs pour avoir été pris les armes à la main après la reddition.

Les trente-quatre victimes sont :

  • 19 Français : Jean Capel, Jean Chabrol, Pierre Dhombres, Emmanuel Dupuy, Jean Farelle, Henri Gebelin, Henri Jourdan, Marcel Liotard, Robert Martin, Jean-Marie Parrier, Louis Pons, Roger Rampal, Jean Rampon, Marcel de Roquemaurel, Jean Rousseau, Jean Marcel Roux, Camille Sallan, Georges Valezi, Pierre Viguier.
  • 3 Allemands : Fred Bucher, Karl Heinz Fulda, Anton Lindner.
  • 1 Autrichien : Karl Trinka.
  • 1 Belge : Liévin Neuhard
  • 10 Espagnols : Carrasco Manuel, Casal Felipe, Cuesta Celestino, Fuentes Augustin, Garcia José, Hous Remigio, Meijas Manuel, Oliva Enrique, Olmos Joaquim, Teruel Gilberto.

27 autres maquisards sont faits prisonniers. Ils seront tous fusillés le matin du près du col de la Tourette à Badaroux. Les trois quarts de l'effectif du maquis, dont son chef charismatique, ont perdu la vie. Le reste des effectifs est en fuite ou dispersé. Son matériel, l'essentiel de son armement et ses provisions ont été pris.

Le commandant Demarne regroupe et prend la tête des rescapés qui retournent vers l'Aigoual.

Une opération aéroportée ?

L'historien Aimé Vielzeuf émet l'hypothèse que le choix du causse Méjean comme base par Barot aurait pu résulter d'une opération aéroportée à venir. Il s'appuie sur le fait que celui-ci a longuement été survolé par l'aviation alliée venue d'Alger lors de la nuit du . La rumeur disait que le terrain de vol à voile du Chanet, bientôt remis en état, accueillerait des avions gros porteurs amenant ainsi des renforts en hommes et en matériel. Le causse Méjean de par son accès difficile pouvait aisément être transformé en un camp retranché à quelques jours du débarquement. Le commandant Barot, rétif à la hiérarchie résistante, correspondait directement avec Alger. Aussi rien ne permet de corroborer cette hypothèse.

Les combats de la Libération

Paul Demarne, remplaçant de Barot après le décès de ce dernier.

De l'Aigoual, ils repartent pour la région de Clermont-l'Hérault, à Mourèze, où ils reconstituent leurs forces. L'annonce du débarquement en Normandie galvanise les hommes et multiplie les ralliements. Le 44, au cours d'une opération de parachutage près de Gignac (Hérault), le commandant Demarne est tué lors d'une escarmouche. Le capitaine Rouan, dit « Montaigne », le remplace. Parallèlement au débarquement en Provence du , tous les maquis de la région R3 (sud) reçoivent l'ordre d'attaquer. Le , le maquis Bir-Hakeim participe activement à la libération de Montpellier et au harcèlement des troupes allemandes se repliant.

Comme les autres FFI, le maquis est amalgamé à l'Armée française de la Libération au sein de la 1re division française libre et participe donc aux combats jusqu'à la fin de la guerre.

Finalement, le maquis Bir-Hakeim en tant que tel aura eu 105 tués au cours de la guerre.

Controverse

Au cours de son existence et à la libération, le maquis Bir-Hakeim, au travers de ses chefs Barot et Demarne, a été au centre de nombreuses polémiques.

Son panache, affirmé lors de ses déplacements et de ses actions spectaculaires, sa témérité et son mépris du danger lui ont été reprochés. Ses détracteurs, dont des chefs résistants cévenols, critiquent le manque de prise en considération de la sécurité des civils[8]. Le choix de l'action immédiate, les coups de main audacieux, les déplacements d'automobiles en plein jour et les défilés sont de nature à attirer les réactions ennemies. La répression qui s'est abattue sur la région de Pont-Saint-Esprit ou l'attaque des maquis cévenols en avril 44 en sont la conséquence.

A contrario, ses partisans ont vanté ce choix face à ceux qui préféraient plus de discrétion, plus de prudence et attendaient la bataille de la libération du territoire pour se battre. Ils mettent en avant l'excellente tenue militaire du maquis au combat, le fort retentissement de ses actions, leur impact sur le recrutement, la pression exercée sur l'occupant mobilisant ainsi des troupes ennemies qui auraient pu être employées sur d'autres fronts.

Monuments

Mémorial de Mourèze
  • Un monument a été érigé en 1984 sur la commune de Mourèze (Hérault) à la mémoire des 105 martyrs du maquis.
  • Une stèle à Rosis devant l'église de Douch, rappelle le combat du .
  • Une stèle sur la commune de Badaroux en Lozère en mémoire de 27 fusillés et torturés.
  • Un monument dans le village de La Parade sur le causse Méjean en Lozère, élevé à la suite du combat du qui fit 34 morts et 27 prisonniers fusillés dans le ravin de la Tourette à Badaroux.

Les résistants du maquis Bir-Hakeim

Tels qu'apparaissant sur le mémorial de Mourèze :

Alex Jean Arlet Jean [9] Arnoux Sylvain [10] Ascensio Gabriel [11] Bardet Jean [12] Belnot Lucien [13] Bucher Fred [14] Capel Jean [15] Carichon Alexandre Carrasco Manuel [16] Casal Felipe [17] Combarnoux [18] Compan Marcel [19] Constantinou Georges [20] Coolens Jules [21] Cuestra Celestino [22] Demarne Paul [23] Desandre Julien [24] Dhombres Pierre [25] Dides Louis [26] Donati Fortune [27] Dupuy Emmanuel [28] Farelle Jean [29] Feschottes Marcel [30] Frank Max [31] Frontera Fuentes Augustin Garcia Jose Garide Manuel [32] Gaussen Francis [33] Gebelin Henri [34] Gervais Henri "Guignol" Guyaux Edmond [35] Heintz Carl [36] Herbaut Georges [37] Heultz Théogène Hous Remigio Jourdan Pierre [38] Lafont Landrieux Alphonse [39] Lebaron [40] Leveque Albert Lindner Anton [41] Lopez Miguel [42] Loriette Charles [43] Liotard Marcel [44] Lucas Jean Mallet Jean [45] Marchetti Albert Martin Armand Martin Robert Mehas Manuel Micko [46] Montes ELoi [47] Naja Diego Neuhart Lievin Nogues Claude [48] Oliva Enrique Olmos Joachim [49] Papillon Parier Jean Picon Andre [50] Pio Fernand [51] Pons Louis [52] Pradelles F Premer Eric Rampal Roger [53] Rampon Jean [54] Rea Dominique de Roquemaurel Marcel [55] Rosse Robert [56] Rousseau Jean Rouvière Jean [57] Roux Marcel Sallan Camille [58] Samana Maxime [59] Sanchez Manuel [60] Sans Marc Sauvebois André [61] Sauvegrain Jacques Suarez Manuel [62] Teyssier André [63] Teruel Gilbert Trinkal Karl [64] Valezi Georges Vasseur André [65] Veylet Louis [66] Viguier Pierre [67] Vorel Joseph [68] Fowler Capitaine [69] Andre Julien Deplanque Henri Martin André Delrieux Jean Wurm Jules Chaper Philippe Guiraudou Hipolyte Salase Chabrie Louis Chabrie René Chapus Henri Coulomb Urbain Martin Auguste [70] Navarro Julien Riffart [71]

Voir aussi

Filmographie

Bir-Hakeim, le maquis des patriotes (2012) court métrage de 40 minutes réalisé par Baptiste Ménage relatant le combat de La Parade.[1]

Sources

  • André Balent, "notice Capel Jean, Raymond, Louis. Pseudonyme : commandant Barot", https://maitron.fr/spip.php?article18606
  • Olivier Bertrand, Les Imprudents, Seuil, 2019[72]. (ISBN 2021413101)
  • Évelyne & Yvan Brès, Un maquis d'antifascistes allemands en France (1942-1944), Les Presses du Languedoc - Max Chaleil éditeur, 1987. (ISBN 2-85998-038-5)
  • Henri Cordesse (ancien chef départemental de la Résistance, préfet de la Libération), Histoire de la Résistance en Lozère,...
  • René Maruéjol et Aimé Vielzeuf, Le maquis "Bir Hakeim", Ed. Lacour, Nimes.
  • René Maruejol et Aimé Vielzeuf, Le maquis "Bir Hakeim", édition augmentée en 1972, Éd. de Crémille, Ed. Famot (Genève), 1974, Diffusion F. Beauval, 255 p.
  • Marie-Pascale Vincent, Les grandes affaires criminelles de la Lozère, Éd. De Borée, 2006 (« La tragédie de La Parade (1944) », pages 45-51) Lien
  • Frédéric Médard, "La pentecôte sanglante du maquis Bir Hakeim", Les dossiers de la 2e Guerre Mondiale, n° 9, juillet, août, , pages 72-80.
  • Marc Bourdalle, Camille Sallan, un résistant Palavasien, Mairie de Palavas-lès-Flots, , 32 pages.

Articles connexes

Notes et références

  1. Ce nom « n'évoque-t-il pas... le plus glorieux fait d'armes des Forces Françaises Libres en Libye » o.p. cit. Maruéjol&Vielzeuf (1974) p. 28
  2. Victor Rigal, né à Foix le 15 novembre 1891, agent d’assurances à Toulouse, arrêté par la Gestapo à l’automne 1942 et déporté à Mauthausen le 6 avril 1944, mort à Melk, commando de Mauthausen, le 22 juin 1944. http://maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr/spip.php?article18606
  3. « CAPEL Jean, Raymond, Louis. Pseudonyme : commandant BAROT - Maitron », sur maitron.fr (consulté le )
  4. Témoignage d'un résistant cité par Aimé Vielzeuf : le maquis Bir-Hakeim, c'était l'armée...
  5. « Média », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le ).
  6. Le préfet Dutruch, le commandant de gendarmerie Bruguière et ses subordonnés, le lieutenant Sorrant et le brigadier Bretou, seront condamnés à mort pour cela à la Libération. Le brigadier verra sa peine commuée en 30 ans de travaux forcés.
  7. Les résistants mendois ne parviendront pas à en avertir le maquis et malgré la mauvaise volonté des chauffeurs français voire le quasi sabotage des camions, ceux-ci partiront quand même pour une destination gardée secrète.
  8. Le patriote résistant de mars 2006
  9. « ARLET Henri, Joseph, Yves [Pseudonyme : Hubert Arnaux] », sur maitron.fr (consulté le ).
  10. « ARNOUX Sylvain, Gérard », sur maitron.fr (consulté le ).
  11. « Bio Ascensio », sur histoire-contemporaine-languedoc-roussillon.com (consulté le ).
  12. « BARDET Jean, Léon, Pierre [alias "Jules"] », sur maitron.fr (consulté le ).
  13. « BELNOT Lucien, Maurice, Henri [alias "Grand Lucien" au maquis Bir… », sur maitron.fr (consulté le ).
  14. « BUCHER Alfred [alias « Fred », alias « Johann » au 301e GTE] », sur maitron.fr (consulté le ).
  15. « CAPEL Jean, Raymond, Louis. Pseudonyme : Campagne puis commandant… », sur maitron.fr (consulté le ).
  16. « CARRASCO Manuel », sur maitron.fr (consulté le ).
  17. « CASAL Felipe », sur maitron.fr (consulté le ).
  18. « COMBARNOUS Ismaël, Hippolyte », sur maitron.fr (consulté le ).
  19. « Autour du maquis Bir Hakeim 1944 », sur etudesheraultaises.fr (consulté le ).
  20. « CONSTANTINOU Georges, Henri », sur maitron.fr (consulté le ).
  21. « COOLENS Jules », sur maitron.fr (consulté le ).
  22. « CUESTA Celestino », sur maitron.fr (consulté le ).
  23. « DEMARNE Paul, Georges, Fernand », sur maitron.fr (consulté le ).
  24. « DÉSANDRÉ René, Auguste [alias « Grand-Père »] », sur maitron.fr (consulté le ).
  25. « DHOMBRES Pierre, André [alias « DAMIER » dans la clandestinité] », sur maitron.fr (consulté le ).
  26. « DIDES Louis, Alfred », sur maitron.fr (consulté le ).
  27. « DONATI Fortuné, Eugène, alias « René » », sur maitron.fr (consulté le ).
  28. « DUPUY Emmanuel, alias « Manu le Marseillais » dans la clandestinité », sur maitron.fr (consulté le ).
  29. « FARELLE Jean, alias « Jeannot » », sur maitron.fr (consulté le ).
  30. « FESCHOTTE Marcel, Jules, Auguste », sur maitron.fr (consulté le ).
  31. « FRANK Max », sur maitron.fr (consulté le ).
  32. « GARRIDO Manuel [alias Manolín] », sur maitron.fr (consulté le ).
  33. « GAUSSEN Francis, Paul ["LACAZE", pseudonyme de Résistance] », sur maitron.fr (consulté le ).
  34. « GEBELIN Henri [alias « Sexco », dans la Résistance] », sur maitron.fr (consulté le ).
  35. « GUYAUX Edmond, Victor [alias "Guignol"] », sur maitron.fr (consulté le ).
  36. « Maitron », sur maitron.fr (consulté le ).
  37. « HERBAUT Georges [alias « Diacq »] », sur maitron.fr (consulté le ).
  38. « JOURDAN Henri, Jules [alias « Pierre » ou « Pierrot le Lyonnais »,… », sur maitron.fr (consulté le ).
  39. « LANDRIEUX Alphonse », sur maitron.fr (consulté le ).
  40. « LEBARON Maurice, Albert, Fernand », sur maitron.fr (consulté le ).
  41. « LINDNER Anton, alias « Toni » », sur maitron.fr (consulté le ).
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  44. « LIOTARD Marcel [alias « Jimmy » dans la clandestinité : 21 -28 mai… », sur maitron.fr (consulté le ).
  45. « Imprimer - MALLET Jean, Germain, Émile, Eugène alias « Toubib », «… », sur maitron.fr (consulté le ).
  46. « MICKO [écrit parfois aussi : MISKO] », sur maitron.fr (consulté le ).
  47. « MONTES Eloy », sur maitron.fr (consulté le ).
  48. « NOGUÈS Claude, Luc », sur maitron.fr (consulté le ).
  49. « OLMOS Joaquim », sur maitron.fr (consulté le ).
  50. « PICON André, François », sur maitron.fr (consulté le ).
  51. « PIO Fernand, alias « Fernand » », sur maitron.fr (consulté le ).
  52. « PONS Louis, Joseph, alias « Grand Louis » et « Charles Dumas » », sur maitron.fr (consulté le ).
  53. « RAMPAL Roger, Ferdinand [alias « Roger Hugon » dans la clandestinité] », sur maitron.fr (consulté le ).
  54. « RAMPON Jean, Laurent, Gaston [alias « Le Balafré », « De Guise »,… », sur maitron.fr (consulté le ).
  55. Eric Blanchais, « Fiche individuelle », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  56. « Rosse robert, roger, joseph [alias "raymond roullié", "richard… », sur maitron.fr (consulté le ).
  57. « ROUVIÈRE Fernand, Alfred, alias « Rolland » dans la clandestinité », sur maitron.fr (consulté le ).
  58. « SALLAN Camille, Étienne », sur maitron.fr (consulté le ).
  59. « SAMAMA Maxime, alias "Maxime" », sur maitron.fr (consulté le ).
  60. « SÁNCHEZ Manuel », sur maitron.fr (consulté le ).
  61. « SAUVEBOIS Aimé [pseudonyme dans la Résistance : "Jimmy"] », sur maitron.fr (consulté le ).
  62. « SUAREZ Manuel », sur maitron.fr (consulté le ).
  63. « TEYSSIER Aimé, Germain [alias « Sico », pseudonyme de clandestinité] », sur maitron.fr (consulté le ).
  64. « TRINKA Karl, alias WILDSCHÜTZ (« Braconnier » pseudonyme de… », sur maitron.fr (consulté le ).
  65. « VASSEUR André, Daniel, Alexandre », sur maitron.fr (consulté le ).
  66. « VEYLET Louis, Jean », sur maitron.fr (consulté le ).
  67. « VIGUIER Pierre », sur maitron.fr (consulté le ).
  68. « VOREL Josef [Joseph] », sur maitron.fr (consulté le ).
  69. « Fowler peter /peter, seymour fowler ; peter seymour fowler] », sur maitron.fr (consulté le ).
  70. « Musée de la résistance en ligne », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le ).
  71. « RIFFARD Louis, Hyppolite », sur maitron.fr (consulté le ).
  72. Les Imprudents, édition du Seuil sur le site Seuil.com.

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Rural Municipality in Bagmati Province, NepalIchchhakamana इच्छाकामना गाउँपालिकाRural MunicipalityIchchhakamanaLocation of rural councilShow map of Bagmati ProvinceIchchhakamanaIchchhakamana (Nepal)Show map of NepalCoordinates: 27°49′N 84°34′E / 27.82°N 84.57°E / 27.82; 84.57Country   NepalProvinceBagmati ProvinceDistrictChitwanWards7Established10 March 2017Government • TypeRural Council �...

 

German journalist Feldenkirchen in 2022 Markus Feldenkirchen (born 1 September 1975 in Bergisch Gladbach) is a German journalist and writer. Early life and education Markus Feldenkirchen was educated at Albertus Magnus Grammar School in Bergisch Gladbach, where he took his Abitur examinations (A-level equivalent). Upon successful completion of his school-leaving qualifications, Feldenkirchen read Political Science, History and Literature at the University of Bonn and at New York University in...

 

Untuk mantan CEO Royal Bank of Scotland, lihat Fred Goodwin. Fred GoodwinsLahir26 Februari 1891London, InggrisMeninggalApril 1923 (usia 32)London, InggrisPekerjaanPemeran, sutradara, penulis naskahTahun aktif1915-1921 Fred Goodwins (26 Februari 1891 – April 1923) adalah seorang pemeran, sutradara dan penulis naskah Inggris pada era film bisu. Ia tampil dalam 24 film antara 1915 dan 1921. Sebagian filmografi A Night Out (1915) A Night in the Show (1915) A Jitney Elopement (1915) The Ban...

Royal Canadian Navy ship that served during the Second World War HMCS Cobalt at Liverpool, Nova Scotia, where she underwent her foc'sle extension refit in 1944. History Canada NameCobalt NamesakeCobalt, Ontario Ordered1 February 1940 BuilderPort Arthur Shipbuilding Co. Port Arthur Laid down1 April 1940 Launched17 August 1940 Commissioned25 November 1940 Decommissioned17 June 1945 IdentificationPennant number: K124 Honours andawardsAtlantic, 1941 – 45.[1] FateSold for mercantile purp...

 

يفتقر محتوى هذه المقالة إلى الاستشهاد بمصادر. فضلاً، ساهم في تطوير هذه المقالة من خلال إضافة مصادر موثوق بها. أي معلومات غير موثقة يمكن التشكيك بها وإزالتها. (ديسمبر 2018) 115° خط طول 115 شرق خريطة لجميع الإحداثيات من جوجل خريطة لجميع الإحداثيات من بينغ تصدير جميع الإحداثيات من ك...

 

Pour les articles homonymes, voir Le Vigan. Le Vigan Mairie. Administration Pays France Région Occitanie Département Lot Arrondissement Gourdon Intercommunalité Communauté de communes Quercy-Bouriane Maire Mandat Jean-Michel Favory 2020-2026 Code postal 46300 Code commune 46334 Démographie Populationmunicipale 1 539 hab. (2021 ) Densité 45 hab./km2 Géographie Coordonnées 44° 44′ 33″ nord, 1° 26′ 23″ est Altitude 333 mMin. 20...

View over the Leine Uplands north of Göttingen The Leine trough between Göttingen and Niedernjesa with the Leine Uplands. The Leine Uplands[1] (German: Leinebergland, German pronunciationⓘ) is a region in Germany's Central Uplands which forms a part of the Lower Saxon Hills and lies along the River Leine between Göttingen and Hanover. It borders on the Weser Uplands in the west, the Innerste Uplands in the northeast, the Harz in the east and Untereichsfeld in the southeast. Geogr...

 

Der Titel dieses Artikels ist mehrdeutig. Weitere Bedeutungen sind unter Teltow (Begriffsklärung) aufgeführt. Wappen Deutschlandkarte Basisdaten Koordinaten: 52° 24′ N, 13° 16′ O52.4024813.2637439Koordinaten: 52° 24′ N, 13° 16′ O Bundesland: Brandenburg Landkreis: Potsdam-Mittelmark Höhe: 39 m ü. NHN Fläche: 21,6 km2 Einwohner: 27.880 (31. Dez. 2023)[1] Bevölkerungsdichte: 1291 Einwohner je km...