Léon Groc nait à la Rochelle où son père est directeur des travaux communaux[1]. Journaliste de profession, il est grand reporter et publie contes et feuilletons dans plusieurs journaux : L'Éclair dès 1907, L'Intransigeant, L'Excelsior, L'Écho de Paris, Le Petit Journal, Le Petit Parisien. Il termine sa carrière au Figaro comme chef des informations de nuit.
Léon Groc utilise aussi les signatures de L.-M. Groc ou Mauléon (pour des co-écritures avec son frère cadet Maurice au début de sa carrière)[5], Joseph Mongis, Paul Carillon, Léon Florentin, Jean Mauléon (notamment pour les récits de guerre de la collection Patrie des éditions Rouff )[2], et encore Marco Croccito, J.-P. Mongis, Paul Mongis (pour d'autres titres des éditions Rouff)[6]. Il co-écrit également des romans de science-fiction avec son épouse, la romancière et parolière Jacqueline Zorn (1910-1988)[7].
↑ a et bDaniel Compère, « Les Récits de guerre de Léon Groc : le canon et la plume », Le Rocambole, no 67, , p. 69-82 (ISSN1253-5885)
↑Jacques Baudou et Philippe Gontier, « Les Romans de Léon Groc », Le Rocambole, no 67, , p. 15-68 (ISSN1253-5885)
↑Fleur Hopkins, « L'histoire du prix Maurice Renard (1922-1932) », Rocambole, no 85, , p. 141.
↑Jean-Luc Buard, « Les Débuts littéraires de Léon... et de Maurice Groc », Le Rocambole, no 67, , p. 93-100 (ISSN1253-5885)
↑Jean-Luc Buard, « Essai de bibliographie de Léon Groc », Le Rocambole, no 67, , p. 115-138 (ISSN1253-5885)
↑Jacques Sadoul, Histoire de la science-fiction moderne, 1911-1971, éditions Albin Michel, , 410 p., p. 331.
Annexes
Études
Le Rocambole no 67 (nouvelle série): Découverte de Léon Groc, Association des Amis du Roman Populaire, été 2014. Articles de Jacques Baudou, Jean-Luc Buard, Daniel Compère, François Ducos, Jean-Pierre Galvan, Philippe Gontier. (ISBN9782912349590)