Chargé de recherches au CNRS, il s'était fait connaître pour avoir tenté de concilier structuralisme et marxisme dans un ouvrage intitulé justement Marxisme et structuralisme (1964). De tempérament suicidaire, il était suivi par le psychanalysteJacques Lacan. En 1965, il se donne la mort après être tombé amoureux fou de Judith, la fille de Lacan[3].
Publications
Marxisme et structuralisme, Paris, Payot, 1964 ; 1967.
L'Invention du monde chez les Indiens Pueblos, introduction de Jacqueline Bolens, Paris, F. Maspero, 1971 (Posthume).
Les Ayoré du Chaco septentrional. Étude critique à partir des notes de Lucien Sebag, par Carmen Bernand-Munoz, Paris - La Haye, Mouton, 1977.
Bibliographie
Dossier, dirigé par Salvatore D'Onofrio, consacré à Lucien Sebag dans la revue Gradhiva, Paris, fascicule no 2, 2005. Textes de Salvatore D'Onofrio, Bruno Karsenti, Pierre Clastres, Violeta et Enrique Bruchegger, etc.