Après un apprentissage dans un atelier de lithographie, il monte à Paris en 1900 où il exerce ses talents de peintre et de graveur sous l’influence de Bernard Naudin qui était son compatriote et son ami.
Il contribue à la revue Les Temps nouveaux fondée par Jean Grave en 1902 et travaille pour les éditions du Pot cassé
Pendant la Première Guerre mondiale, il collabore au Semeur, journal imprimé clandestinement en 1916 par Maurice Charron (dit Pierre Chardon) puis à La Forge, revue d’art et de littérature (1917-1920).