Photographie du général de brigade Louis Granier de Cassagnac, à sa prise de commandement de la 14e brigade de cavalerie, dépendant du 14e corps d'armée, Valence, août 1907
Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, il est détaché comme porte-fanion du général Decaen. Lorsque ce dernier meurt à Borny, il devient porte-fanion du Maréchal Le Bœuf. Il prend part durant ce conflit à toutes les opérations du 3e Corps d'Armée, dont les batailles de Forbach, Borny, Gravelotte , ainsi qu'aux affaires de Servigny et de Sainte-Barbe (bataille de Noisseville), où il est blessé d’un éclat d’obus à la tête. Il reçoit alors la Médaille militaire. Fait prisonnier de guerre par les Prussiens le à la suite de la capitulation de Metz, il s’évade le suivant et rejoint l’armée de la Loire, puis l'armée de Versailles au sein de laquelle il combat contre la Commune, notamment au combat de Choisy-le-Roy le .
Passant par le jeu des mutations par différents régiments de chasseurs, chasseurs d'Afrique et cuirassiers, il devient chef de corps du 5e régiment de dragons alors qu'il est nommé colonel, le .
Dès le , il accède au grade de général de brigade, prenant la tête de la 1re brigade de hussards, rattachée à la 4e division de cavalerie. Le général Granier de Cassagnac prend son dernier poste le à Valence, avec le commandement de la 14e brigade de cavalerie.
Il est mis en disponibilité à sa demande pour raison de santé le .