Il a créé de nombreuses céramiques à thèmes bretons, dont Les Trois commères, Le Léonard au veau, La Marchande de poulets, Le Vœu du marin (vers 1930) éditées par le faïencier Henriot de Quimper. Il a aussi sculpté les bustes de l'amiral Émile Guépratte et de Charles Le Goffic, ainsi que de nombreux monuments aux soldats morts pour la France[4].
Son Monument aux morts de Guémené-Penfao (Loire-Atlantique) en pierre de Kersanton, de conception sobre, représente une femme du pays, debout, pleurant un soldat mort, allongé à ses pieds[5].
Plusieurs de ses œuvres sont conservées à Quimper au musée départemental breton : bronzes (Ouessantine ajustant sa coiffe), plâtres, céramiques (modèle en terre cuite de La Bretagne entre Arthur et Merlin), plusieurs faïences de Quimper.
Hommage
Une rue de Rennes porte son nom (rue Louis-Henri Nicot).