Stalingrad(cs), quartier résidentiel de Žďár nad Sázavou ; construit dans les années 1950, son nom de Stalingrad est toujours utilisé en 2014 bien que des tentatives de renommages aient été entreprises après la Révolution de velours.
Rue Staline, Essômes-sur-Marne ; à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la municipalité fait le choix d'honorer les vainqueurs en renommant trois voies d'après les dirigeants alliés présents lors de la conférence de Yalta : elle compte ainsi une rue Churchill, une rue Roosevelt et une rue Staline, la dernière en France. Elle compte également une avenue Charles de Gaulle. L'ambassadeur de l'URSS fut présent lors de la cérémonie organisée pour baptiser ces voies[4]. Malgré les controverses et plusieurs vandalismes, la rue conserve son nom[5],[6].
Avenue Staline à Hagondange, devenue rue de la Gare[7].
Rue Staline, à Annonay, redevenue rue Sainte-Claire, en 1961.
Avenue Joseph-Staline à Saint-Étienne, entre 1947 et 1954, puis, rapidement renommée avenue du , en hommage aux morts de la guerre de 1914-1918, puis de tous les conflits.
Boulevard Joseph-Staline à La Seyne-sur-Mer, entre 1952 et 1984, boulevard Stalingrad.
Rue Staline, Téhéran ; la ville a nommé trois rues d'après les trois dirigeants alliés s'étant rencontrés à la conférence de Téhéran en 1943 : Churchill, Roosevelt et Staline. Ces noms ont disparu avec la révolution islamique en 1979[10]. L'ex-rue Staline se nomme désormais rue des Gardiens de la révolution.
↑ abcd et e(en) « KNAB », Eesti Keele Instituudi kohanimeandmebaas
↑(en) Edvard Radzinsky, Stalin : The First In-depth Biography Based on Explosive New Documents from Russia's Secret Archives, Anchor, , 607 p. (ISBN978-0-385-47954-7)