Il retourne ensuite à Constantinople où il continue à écrire et travailler comme enseignant.
En tant qu'auteur, il est le plus connu pour ses pièces : Hin Asdvadzner (Dieux anciens, 1908), Kaisre (L'empereur, 1914), Ingadz Berdi Ishkhanuhin (La princesse du fort tombé, 1921), Oshin Payl (1929).
Il est l'un des vice-présidents du parlement arménien durant la première république arménienne et mène une délégation à Moscou en pour négocier avec le nouveau régime communiste.
Il quitte l'Arménie après sa soviétisation en 1921 et s'installe à Paris, au Caire et finalement à Beyrouth. Il est un des fondateurs de l'association Hamazkaïne au Caire (1928). L'année suivante, il fonde et dirige le Collège Nshan Palandjian Djemaran à Beyrouth, et ce, jusqu'à sa mort.
Un volume de ses écrits fut publié en Arménie soviétique en 1968 bien qu'il soit un des nombreux écrivains bannis en raison de divergences politiques.
Ses pièces de théâtre L'empereur et Dieux anciens sont parmi les plus populaires à encore être jouées. D'ailleurs, Dieux anciens a révolutionné la littérature arménienne quand il fut présenté à Tiflis en 1913. Cette pièce fut traduite en anglais, allemand, italien, français et russe et fut même dirigée par Constantin Stanislavski en 1917.