Marius raconte ses exploits à travers le monde à son fils. Il dépeint ses affrontements face à un tigre royal dans le désert, un bison dans la savane et une baleine au Pôle Nord. Effrayée par les récits la pendule se dérègle et les murs tremblent. Le petit Marius enthousiasmé veut essayer son adresse et s'attire une correction de son père.
Valérie Vignaux (dir.), 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, vol. 59 : Marius O'Galop / Robert Lortac. Deux pionniers du cinéma d'animation français, Paris, Association française de recherche sur l'histoire du cinéma, (ISBN978-2-913758-60-5, lire en ligne)