Médaille à l'effigie de Léopold Ier à l'occasion de l'inauguration de la colonne du Congrès de Joseph Poelaert. Cette grande médaille ne fut tirée en qu'à 40 exemplaires, car la machine s'est brisée lors de la fabrication[3].
Médaille à patine brune à l'effigie de Pierre-Paul Rubens à l'occasion de l'érection de sa statue à Anvers, 1840.
Médaille à l'effigie du baron J. de Pélichy-van Huerne, bourgmestre de Bruges entre 1841 et 1854 (1855)
Médailles et jetons en argent pour la Société des Agathopèdes, société secrète belge dont certains sont conservés au Cabinet des médailles à Bruxelles. Il réalisa leur grand sceau en 1849[4].
Médaille à l'effigie du prince de Ligne curieusement signée Hart F (pour Hart Fecit ?)
Médaille maçonnique qui contient la phrase « La Maçonnerie vivra. Dieu le veut ! » au droit et à l'avers des préceptes maçonniques.
En 1847, à l'occasion de l'ouverture des Galeries Saint-Hubert de Bruxelles, il dut réaliser deux ou trois médailles différentes représentant la façade de la Galerie du Roi et celle de la Reine, et peut-être celle des Princes
Cent ans plus tard on utilisa ses deux modèles signés pour remettre aux actionnaires en cet anniversaire deux petites médailles différentes. Il en existe de deux formats différents; les plus grandes sont complétées d'un dessin de l'architecte Jean-Pierre Cluysenaar et de la liste des membres du conseil d'administration de 1947.
↑lot 507 de la deuxième partie de la vente publique <<Renier Chalon allias cte. de Fortsas>> du 15 décembre 2023
Bibliographie
Eugène De Seyn, Dictionnaire biographique des sciences, des lettres et des arts en Belgique, Bruxelles, tome II, 1936, p. 547.
Nicolas de Streel, Baudouin de Theux, Bertrand Maus de Rolley et Luc Vandamme, Portraits en médailles de nobles belges de 1830 à nos jours, Bruxelles : Éd. de l'ANRB, 2014.