Laurence Geai décide de devenir photojournaliste en 2013, après des études de commerce à l'E.S.C.E., un court passage dans la mode et une expérience dans le journalisme audiovisuel[1],[2].
En , elle réalise un premier reportage en Syrie.
Depuis 2014, photographe à l'agence Sipa Press, elle suit la vie des migrants aux portes de l'Europe et en France, tout en continuant à couvrir certaines zones de conflits (Irak, Syrie, Centrafrique, Israël-Palestine, Ukraine)[2],[3],[4].
Elle expose à Perpignan son reportage sur la guerre de l’eau en Palestine lors du festival Visa pour l'image de 2016[5].
2020 : Grand Prix du festival Les femmes s'exposent pour son sujet sur le sort de membres supposés de Daesh en prison, réalisé pour le quotidien Le Monde[7].
↑Lucile Quillet, « Laurence Geai : "Certains combattants roulent des mécaniques devant les femmes reporters" », Madame Figaro, (lire en ligne, consulté le )
↑ a et b« Laurence Geai : "Mon pavé 2018 c'est un accueil digne des demandeurs d’asiles et des réfugiés en France" », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )