La création de la langue de Castille et le passage à l'époque moderne entraînent une restructuration (dite remembrement) de ces commanderies et le regroupement de certaines d'entre elles à laquelle il faut ajouter l'absorption des biens de l'ordre canonial régulier du Saint-Sépulcre en 1489 :
Origine templière douteuse[6]. A d'abord fait partie du grand prieuré de Navarre avant de dépendre de celui de Castille puis de nouveau en Navarre comme membre de la commanderie d'Indurain[N 13]
[Chambre magistrale donc ne figure pas dans les registres de 1734][N 19]
Commanderie de
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Notes
↑Localisation à vérifier car il y avait une commanderie d'origine templière à Calasparra (royaume de Murcie) alors que ce toponyme ne parait pas connu dans celui de León. Cette commanderie était dite d'Archena et de Calasparra, cf. (es) Carlos Barquero Goñi, « La orden militar de San Juan en el reino de Murcia durante la edad media (siglos XIII-XV) », Miscelánea Medieval Murciana, no 37, (lire en ligne).
↑Ancienne possession de la commanderie templière de Castelotte érigée en commanderie par les Hospitaliers[3]. Contrairement à ce que mentionne Juan Francisco Baltar Rodríguez, elle ne se trouvait pas dans le royaume de León mais dans celui d'Aragon.
↑Don par Alphonse VIII en 1181 du barrio de San Pedro jouxtant Reinoso de Cerrato.
↑La commanderie de Benavente & Rubiales. Dehesa de Rubiales se trouvait au nord-est de Benavente sur la commune de Valdescorriel. Cette commanderie possédait également Carbajales de la Encomienda(es) et son église en ruine, ancienne possession de l'ordre du Temple.
↑La commanderie de Villela se trouvait sur la paroisse de san Millán, commune de Vega de Ruiponce.
↑Les commanderies de San Juan de Arramele et de Santa Catalina (commune de Saint-Sébastien) appartenant initialement au prieuré de Navarre forment une baillie. Pourtant celle-ci parait dépendre du prieuré de Castille au début de l'époque moderne. Après la création de la langue d'Aragon, ce litige entre les hospitaliers de Castille et ceux de Navarre n'est toujours pas résolu (1478)[7]. On retrouve finalement San Juan de Ramel au sein du grand prieuré de Navarre parmi les membres de la commanderie d'Induráin (XVIe siècle)[8].
↑Identification à confirmer car ce ne peut pas être São Cristóvão de Nogueira(pt) qui était une commanderie de l'ordre du Christ. À la demande du roi João III de Portugal, le pape Clément VII érige en commanderie São Cristóvão de Nogueira le 05 juillet 1527 et cette commanderie perdura jusqu'en 1834. Aucune autre information qui permette d'identifier la commanderie Hospitalière de São Cristóvão et Almas.
↑Barreiros est une paroisse disparue. En 1367, « a freguesia de Barreiros como as de Gueifães, Gondim e Leça são do Hospital » appartenaient déjà aux Hospitaliers de la commanderie de Leça. 41° 13′ 57″ N, 8° 38′ 01″ O
↑Cette commanderie n'a peut-être pas fourni de revenus cette année-là ou elle avait le statut de chambre magistrale, auquel cas ses revenus n'étaient pas reversés au prieuré puisque revenant de droit au grand maître de l'ordre.
↑Ce qui est normal puisque son statut de chambre magistrale la détachait du prieuré, elle appartenait au grand maître.
↑(es) Alfonso Vázquez Martinez, « La encomienda de S. Juan de Mourentán (Arbo) », Boletín de la Comisión Provincial de Monumentos Históricos y Artísticos de Orense, vol. XVII, (présentation en ligne)
↑(es) Antonio Martín Costea et Antonio Serrano Ferrer, Camarón : Historia y Arqueología de una Villa Medieval y Su Entorno, , 159 p. (présentation en ligne)
↑(es) José Luis Zubieta Irún, Geografía histórica de la Diócesis de Santander, Santander, Ed. Universidad de Cantabria, , 267 p. (ISBN978-84-8102-523-1, présentation en ligne), p. 36, 48
↑(es) Juan Francisco Baltar Rodríguez, « La Estructura de la Orden en la Edad Moderna », dans La Orden de Malta en España (1113-2013), Editorial Sanz Y Torres S.l., , 520 p. (présentation en ligne), p. 325
↑(es) Gonzalo Martínez Díez, Templarios en la Corona de Castilla, La Olmeda, (présentation en ligne), p. 134
D'après l'auteur, aucun document d'époque ne vient étayer une origine templière pour San Juan de Herramel. Les Hospitaliers de la commanderie d'Indurain (grand prieuré de Navarre) vendent le membre d'Arramele en 1671.
↑Philippe Josserand, Église et pouvoir dans la péninsule ibérique : les ordres militaires dans le royaume de Castille, 1252-1369, Casa de Velázquez, , 912 p. (ISBN978-84-9096-119-3, présentation en ligne), p. 615
↑Carlos Idoate Ezquieta, « Inventario de documentos relativos a la Orden de San Juan de Jerusalén en Navarra : I. Encomienda de Indurain », Príncipe de Viana, nos 160-161, , p. 419-444 (lire en ligne)
↑(es) Inocencio Cadiñanos Bardeci, La orden de San Juan de Jerusalen en Burgos : las encomiendas de Burgos-Buradón, Vallejo, Puente Itero y Reinoso, Institución Fernán González, , 186 p. (présentation en ligne)
↑ a et b(es) Carlos Barquero Goñi, « El conflicto por los bienes templarios en Castilla y la Orden de San Juan », En la España Medieval, Universidad Complutense Madrid, no 16, , p. 43 (ISSN0214-3038, lire en ligne)
↑(es) José M. Carmona Dominguez, Libro de privilegios de la encomienda de Tocina, 1242-1692, Universidad de Sevilla, .... (présentation en ligne)
↑(es) José María Carmona Domínguez, « Documentos de la encomienda de Tocina y Robaina hasta el siglo XVI: el legajo de compras de la encomienda de Tocina y del pleito con las monjas del Convento de Santa Isabel de Sevilla (1449-1586) », Historia. Instituciones. Documentos, 26, , p. 181-191 (lire en ligne)
↑(es) José Manuel Abel Expósito, Pazos et Linajes de la villa de Arenteiro, .... (lire en ligne)
↑(es) Isidro García Tato, « Asentamiento, desarrollo y ocaso de la Orden del Santo Sepulcro en Galicia : un Panorama General y un Documenta Singular », Cuadernos de Estudios Gallegos, vol. 59, no 125, , p. 78-80 (lire en ligne)
↑(es) Jesús Urrea, « Caballeros de la orden de San Juan de Malta en Valladolid », BSAA arte, no 75, (lire en ligne)
↑(es) Carlos de Ayala Martínez, « La Orden Militar de San Juan en Castilla y León: los Hospitalarios al norte del Sistema Central (siglos XII-XIV) », Historia. Instituciones. Documentos, no 26, , p. 6 (lire en ligne)
↑Carlos Barquero Goñi, Los caballeros hospitalarios en España durante la Edad Media : (siglos XII-XV), La Olmeda, , 293 p. (ISBN978-84-89915-19-0, présentation en ligne), p. 141-142
Leca, Chavao, Santa Marta, Távora, Aboim, Faia, Moura Morta, Poiares, Corveira, Ervoes, S. Cristovao, Algoso, Barró, Fontelo, Vila Cova, Trancoso, Ansemil, Guarda, Covilha, Oleiros, Serta, Belver, Coimbra, Santarem, Lisboa, Marmelar, Moura, Elvas et Crato
↑(pt + en) Luís Adão da Fonseca, Paula Pinto Costa et Joana Lencart, A Comenda de Vera Cruz de Marmelar. Corpus Documental (1258-1640), (ISBN978-989-8434-23-4, lire en ligne)
↑(pt) Miguel Gorjão-Henriques da Cunha, « O Venerando Balio Frei Rodrigo Manuel Gorjão : Ordem de Malta », Filermo, , p. 122 (présentation en ligne)
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