Roger Lacourière est réputé pour ses capacités pédagogiques, et John Buckland Wright écrira son propos :
« there is nothing he likes better than to initiate a young artist, or an older one for that matter, into the secrets of the profession. A quick masterly demonstration will save the artist weeks of fumbling experiment… »
— John Buckland Wright, Roger Lacourière and modern French engraving, 1948[5],[1].
« il n'y a rien qu'il aime plus qu'initier un jeune artiste, ou un plus vieux, d'ailleurs, aux secrets de la profession. Une rapide démonstration magistrale va économiser à l'artiste des semaines d'expériences maladroites… »
Jacques Frélaut entre à l'Atelier Lacourière en 1938, où il devient rapidement chef d'atelier. Roger Lacourière l'associe à son entreprise en 1955, avant que celle-ci soit renommée Atelier Lacourière-Frélaut deux ans plus tard. À la mort de Lacourière, Frélaut prend la direction de l'atelier, avec l'aide de son frère Robert et de Madeleine Lacourière[4].
Plus tard, Luc Guérin, neveu de Robert Frélaut, prend la direction de l'atelier[4].
Entretiens sur la taille-douce, de Jean Réal (1990) Entretien avec Jacques Frélaut à propos de son travail aux côtés de Pablo Picasso, et de Henry Moore (également un entretien avec Robert Dutrou à propos de Joan Miró et Antoni Tàpies).