Tribologie, Physico-Chimie et Dynamique des Interfaces : étude du frottement, de l'usure, de la lubrification, de l'adhérence
Dynamique des Systèmes Complexes : contrôle des vibrations et de la stabilité des systèmes et des organes mécaniques dynamique, vibroacoustique des systèmes complexes et des matériaux enrichis
Mécanique des Matériaux et des Procédés : comportement des matériaux et des tissus vivants en relation avec leur microstructure[1], mécanique numérique des surfaces
Géomatériaux et Constructions Durables : calcul des structures et des ouvrages, mécanique des sols
Chacune de ces équipes de recherches est constituée de plusieurs groupes de recherche spécialisés. Un projet porte en particulier sur la numérisation sur sens du toucher et la réalisation de « doigts électroniques »[2] permettant de qualifier l'effet tactile provoqué par une surface. Des applications sont réalisées pour la plasturgie[3]. Un autre axe consiste à appuyer les recherches archéologiques par la recherche de moyens d'analyse des surfaces des vestiges, afin de déterminer les outils utilisés à l'époque[4],[5].
Le laboratoire fait partie des plus grandes structures de recherche en Sciences de l'Ingénierie de France[6]. Avec plus de 400 chercheurs et collaborateurs et la technicité de ses équipements, il est considéré[Par qui ?] en 2020 de premier rang mondial pour les sciences de l'ingénieur[6].
Histoire
1970 : Création du LTS (Laboratoire de Technologie des Surfaces) par Jean-Marie Georges[7] à l'ECL
1995 : Le LTS devient alors le Laboratoire de Tribologie et Dynamique des Systèmes LTDS[6] UMR 5513 sous la direction de Philippe Kapsa. Le laboratoire est alors composé d'environ 80 personnes.