La Septième Obsession commence comme revue numérique. En , elle devient un magazine bimestriel papier distribué en kiosque à journaux et maisons de la presse[2]. La revue propose des dossiers thématiques et de longs entretiens[3]. Elle met en avant les cinéastes, les écrivains et les penseurs culturels[2]. Elle se positionne comme un produit « haut de gamme » et se focalise sur la tranche des dix-huit-vingt-six ans[1].
En 2020, Thomas Aïdan, rédacteur en chef, indique, à LCI, que le magazine est tiré à 60 000 exemplaires pour 20 000 abonnés[8]. En 2019, Alex Masson du syndicat français de la critique de cinéma et des films de télévision indique 60 000 exemplaires aussi pour l'année 2016. Il relativise ce chiffre en indiquant qu'il est, avec d'autres chiffres cités dans son article, « issus des sites des journaux concernés ou des régies publicitaires, donc usuellement gonflés[9]. »
Comme d'autres titres de la presse cinématographique, La Septième Obsession est soutenu par le CNC depuis 2020[10],[11].
En , La Septième Obsession est l'un des douze titres de presse de cinéma qui adressent une lettre à la ministre de la Culture et au président du CNC pour les alerter de l’urgence économique que connaît leur secteur dû à l'inflation du coût du papier[12].
Notes et références
Notes
↑Il s'agit du tirage exceptionnel du numéro de lancement.