Cette pièce reprend des thèmes de la nouvelle d'Anna SeghersLa Lumière sur le gibet, notamment la première tentative d'abolition de l'esclavage aux Antilles après la Révolution française. Elle est coupée par un long monologue narratif de type kafkaïen, mettant en scène un homme dans un ascenseur. H. Müller a expliqué que cet élément lui a été inspiré par une rencontre avec Erich Honecker[1].