Selon Errol Flynn, « m'engager dans des films de cow-boy m'apparaissait comme parfaitement ridicule, mais cela réussissait à la Warner[1] ». Comme « il y a une différence entre le western moyen et une production à grand spectacle, Les Conquérants, La Caravane héroïque, La Rivière d'argent avaient des budgets énormes et se fabriquaient d'une manière différente. Le studio ne lésinait sur aucune dépense. Jack Warner, qui savait ce que voulait le public, le lui donnait mieux que personne[2] ».
Bibliographie
Ouvrages généraux
Gérard Devillers et Marceau Devillers, Anthologie du Cinéma, tome V : Errol Flynn, Paris, L'Avant-scène Cinéma, , p. 337-392.
(en) Tony Thomas, Rudy Behlmer et Clifford McCarty, The Films of Errol Flynn, Secaucus, New Jersey, The Citadel Press, , 221 p. (ISBN0-8065-0237-1), p. 87-90.