Djaffar, Hamid et quelques-uns de leurs amis, tous héros de la guerre d'indépendance algérienne, vivent progressivement, après l'euphorie de la victoire, une forme de désillusion à des degrés divers.
La sortie en salle du film en Algérie, a suscité quelques critiques de la part de certains nationalistes et chefs religieux, mais pas des autorités algériennes. La ministre de la culture de l’époque, Nadia Labidi, faisant confiance à la maturité du public pour se faire leur propre opinion[1].
« Dossier de presse du film (26 p.) », comprenant notamment l'interview du réalisateur au sujet des personnages et une chronologie situant le film dans le contexte mondial et algérien, sur maghrebdesfilms.fr, (consulté le )