L'idée originale de Kolab consiste à tout stocker dans un serveur IMAP : non seulement le courrier électronique, mais aussi les carnets d'adresses, notes, agendas, fichiers, etc. Ces entrées sont enregistrées dans des répertoires IMAP, dont le serveur gère les droits d'accès, la synchronisation du client, ainsi que les accès simultanés par plusieurs clients.
Technologies
Kolab utilise[2] des normesouvertes répandues afin d'être compatible avec les logiciels génériques[3].
Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items. D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.
2002 à 2005
2002 : Kolab1 et Kroupware sont conçus[8] en utilisant les formats ICal et vCard, afin de stocker des rendez-vous, adresses, tâches et notes dans un serveur IMAP.
2003 : Kolab 1.0 est publié.
2003 : Kolab1 KDE Client, basé sur Kontact, est développé[9].
2003 : Le premier connecteur Outlook est développé.
2006 : Kolab 2.1 est développé avec de nombreuses améliorations et extensions par rapport à Kolab 2.0, notamment la prise en charge de plusieurs domaines de messagerie sur une seule instance.
2007 : Kolab 2.1 est publié.
2007 : Kolab 2.2 est conçu en intégrant le webmailHorde.
2007 : Un troisième connecteur Outlook est proposé.
En 2015, Kolab Systems, maintenant connue sous le nom de Apheleia IT AG, a collecté approximativement 103 000 dollars via une campagne de financement participatif pour mettre à niveau le client email Roundcube vers "Roundcube Next"[15]. Cependant, le travail n'a jamais été terminé[16]. Thomas Bruederli, le mainteneur de la campagne de financement participatif[17], a bloqué toute requête d'information à propos du statut de la campagne[18].