Les membres, très jeunes[2], gardent leur identité secrète mais plusieurs ont des liens avec la police et l'armée, auxquelles ils apportent leur soutien, ainsi qu'avec le réseau musical néo-nazi Blood and Honour[3],[4].
Mi-novembre 2020, Junge Tat téléverse une vidéo sur la messagerie Telegram, dans laquelle le groupuscule y revendique des liens avec le nazisme et la Nouvelle Droite[6].
Fin 2023, une polémique a lieu en raison de la proximité de membres de Junge Tat avec plusieurs membres de l'Union démocratique du centre[7],[8],[9].
↑ ab et cBoris Busslinger, « À Saint-Gall, le collectif d’extrême droite Junge Tat reste impuni », Le Temps, , p. 8 (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑(de-CH) Fabian Eberhard, « Gewaltbereiter Neonazi dient bei der Militärpolizei », Blick, (lire en ligne, consulté le ).