Une ordonnance royale datant de 1840 exige dans un premier temps puis propose à la suite du tollé des Conseils Coloniaux un enseignement religieux pour les enfants esclaves et l'accès à l'école gratuite à partir de 4 ans. Le 18mai 1846, une nouvelle ordonnance est prise pour l'obligation de l'instruction des jeunes esclaves mais son prédécesseur ne l'applique pas. L'Abbé Monnet se consacre depuis juin 1840 à l'instruction religieuse des esclaves non sans heurts et sera expulsé par Graëb en septembre 1847[1].
Le 2juillet 1846, Graëb signe un arrêté suspendant toute nouvelle introduction d'engagés chinois[2].
Joseph Graëb est à l'initiative de la colonisation des hauts de l'Île de la Réunion[3].
Bernard Lejeune et Evelyne Lejeune-Resnick, Revue d'histoire du XIXe siècle : 1848, un modèle politique à l'épreuve, t. 16, Société d'histoire de la Révolution de 1848 et des révolutions du XIXe siècle, , 211 p. (OCLC7794169478, DOI10.3406/r1848.1998.2319), « Maurice et La Réunion : deux îles de l'océan Indien face à la France de 1848 »