Fils de Giuseppe Toesca et de Maria Ricci, il commence ses études d'architecture à l'armée, dans l'atelier de Francesco Sabatini. À quinze ans, il part avec lui à la cour d'Espagne, à Madrid, avant d'aller étudier les mathématiques à Barcelone.
Toesca se marie en 1782 avec Manuela Fernández de Rebolledo, mais après que Joaquín Toesca tente de la tuer, elle s'enferme dans un couvent[réf. nécessaire].
Il poursuit ses travaux et a de nombreux élèves. Il meurt le à Santiago et ses restes sont ensevelis, selon sa propre volonté, dans l'église San Francisco(es), qu'il a toujours admirée. Son influence sur la ville de Santiago du Chili est notable[1].
Réalisations
Toutes ses œuvres architecturales ont été réalisées au Chili :
À noter que bien qu'on sache peu de son œuvre picturale, il a réalisé des gravures, comme l'atteste le portrait de son mentor Francesco Sabatini[2]
Joaquín Toesca dans la culture
Une station de métro de Santiago porte le nom de Toesca du fait de la proximité qu'elle entretient avec la rue Toesca, qui est nommée d'après l'architecte italien.
Le roman de Jorge Edwards intitulé El sueño de la historia est inspiré de la biographie de Joaquín Toesca[réf. souhaitée].