Il devient médecin en 1911[4]. Il est médecin auxiliaire d'un régiment pendant la Première Guerre mondiale[4]. Il cofonde l'Association républicaine pour favoriser les études médicales[4].
Il est connu pour avoir été médecin des prisons s'intéressant particulièrement aux tatouages des détenus[5]. Il s'intéresse particulièrement aux aspects psychologiques et à la mémoire du détenu[5]. Il rencontre notamment l'assassin Louis Rambert avec qui il noue une relation de confiance[5].
En 1933, il fonde la section lyonnaise de la Société d’histoire de la médecine[4]. En 1934, il est élu président de l'Association des Amis du musée Gadagne et occupe cette fonction jusqu'à son décès en 1960[6].
Comme son père et son grand-père Joseph Rollet, il est enterré à Beynost[3].
↑ ab et cOuvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Miribel : Miribel, Beynost, Neyron, Saint-Maurice-de-Beynost, Thil, , 207 p. (ISBN2-907656-27-9), p. 122.
↑ abc et dRépertoire numérique détaillé établi par Marie-France VILATTE, Guillaume MATHIEU et Noëlle TAHAR, étudiants en archivistique (master II, Lyon 3) sous la direction de Benoît VAN REETH, directeur des Archives départementales du Rhône, « Jean Lacassagne » [PDF], Archives départementales du Rhône, .