Jean Ignace Cayer nait à Lyon le dans une famille bourgeoise. Après des études brillantes il se destine à un avenir ecclésiastique. Il rentre dans la société des jésuites en 1721, et se range dans l'ordre séculier de l’Église en 1723, et devient chanoine de Fourvière en 1724[1]. Il consacre l’essentiel de son temps libre à l’étude des sciences, plus particulièrement aux mathématiques et à l'astronomie. Il tient une chronique savante dans laquelle il déconstruit l’astrologie et les superstitions.
Il meurt le à Lyon des suites de plusieurs attaques d’apoplexie[2].
Sociétés savantes
Ses travaux lui vaudront d'être élu le membre de la classe des sciences de l’Académie de Lyon alors nommée Société Royale[2]. Il y est très actif, et en devient le directeur en 1750[3].
Publications
« Calculs astronomiques », dans Almanach de Lyon, éd. Aimé de la Roche, 1742 et suivantes