Sous-préfet provisoire de Saint-Dié en 1944, il quitte ce poste en et se présente aux élections législatives de juin sous l'étiquette des Républicains indépendants. Il obtient 13,8 % des voix et est élu.
Candidat en , mais en troisième position seulement, sur la liste d'union républicaine, se réclamant du gaullisme, menée par André Barbier, il n'est pas réélu, celle-ci n'obtenant que 27 % des voix et un siège.
Il quitte alors la vie politique et se consacre à sa carrière professionnelle : il est chef-adjoint du cabinet du ministre de l'agriculture, et directeur départemental de l'agriculture.