Il vit et travaille en Corse depuis 1990 et participe aux expositions de l'École d'Étampes[1]. En 2000, il publie Loghi corsi aux éditions Romain Pages[2]. L'année suivante, la société de construction navale italienne Fincantieri lui commande un ensemble d'œuvres pour l'un des restaurants du Danielle-Casanova[3]. En 2010, le musée national de la maison Bonaparte présente Métamophoses, Jean-Marc Idir et la maison Bonaparte[4].
↑Emmanuelle Tenailleau : Dans les pas de Philippe Lejeune in Pratiques des Arts, janvier 2002.
↑BNF[1]. Stéphanie Auguy : Jean-Marc Idir dévoile ses dessins de la Corse in Le Parisien du 20/02/01.
↑Claude Darras : Jean-Marc Idir raconte la Corse dans un bateau in La Provence du 07/11/02.
↑Patrice de la Perrière : Jean-Marc Idir et la maison Bonaparte in Univers des Arts, juin 2010. Élisabeth Milleliri : Les métamorphoses de la Casa Bonaparte in Corsica, mai 2010.
↑Première du Danielle-Casanova in Corse-Matin, 07/07/2002
↑Jean-Marc Idir expose au musée in Le Parisien, 17/03/1988.
↑Fondation Taylor, les expositions de 1846 à nos jours [2]. Patrice de la Perrière : Rétrospective à la Fondation Taylor in Arts Actualités magazine, avril 1994. Télérama /Paris n° 71 du 20/04/1994. Nicole Lamothe in Taylor, revue de la fondation, octobre 1994.
↑Emmanuelle Tenailleau in Univers des arts, juin 1999.
↑Emmanuelle Tenailleau : L'exigence de la pureté in Pratique des arts, février 2003.
↑Emmanuelle Tenailleau : Idir, une quête de la pureté in Pratique des arts, juin 2004.
↑George Sand, Interprétations 2004, catalogue de l'exposition.
↑Pauline Simons : Philippe Lejeune, dans l'atelier d'un peintre du sacré / Léopold Sanchez : Un peintre qui fait école in Le Figaro Magazine, 17/12/2010.