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En 1692, est nommé professeur à l'Académie royale.
Il meurt à Paris le .
Œuvres
Comme son frère, Michel, Jean-Baptiste Corneille est influencé par l'école du Desiderosi. Plusieurs de ses peintures ont été gravées par certains de ses contemporains, comme Jean Mariette qui fut son élève. Lui-même a gravé à l'eau-forte quelques-unes de ses œuvres, s'inspirant des Carracci.
Les membres de l'Académie française venant offrir au roi Louis XIV le Dictionnaire de l'Académie (1694), gravure de Jean Mariette d'après un dessin de Corneille.
Notes et références
↑Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes : [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80 p.
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Annexes
Bibliographie
M.-L. Blumer, « Corneille (Michel) » dans Dictionnaire de biographie française, vol. 9, Paris, [détail des éditions] , col. 676–678.
Pierre-Marie Auzas, « Les Quatre Mays des trois Corneille », La Revue du Louvre, 1961, 4-5, p. 187-196.
Yves Picart, Jean-Baptiste Corneille 1642-1695, une âme violente et tourmentée, Paris, CdP, 1987.
Nathalie Delosme, Le peintre Jean-Baptiste Corneille (1649-1695), mémoire de DEA, Université Paris IV, 1992.
Anne Le Pas de Sécheval, « Du nouveau sur Jean-Baptiste Corneille : autour d'un tableau retrouvé », Revue de l'Art, n°123, 1999, p. 32-38. (Lire en ligne)
Moana Weil-Curiel, « Un tableau pour le Grand Commun : le Saint Roch de Jean-Baptiste Corneille », La Tribune de l'Art, 20 novembre 2012. (Lire en ligne)