Il est promu général de brigade provisoire le , mais il refuse la promotion, et le il est confirmé dans son grade par le comité de salut public qui ignorait le refus. Le , il reprend le commandement du 21e régiment de cavalerie, en tant qu’adjudant-général chef de brigade, et il rejoint l’armée du Nord. Il est réformé le , en raison de rhumatismes.
Le , il reprend du service à la tête d’une brigade de gendarmerie, et en juillet 1797, il est nommé chef d’escadron, commandant les services de police militaire dans les départements de Sambre-et-Meuse et de l’Ourthe. Il est réformé le , et le suivant il est chargé de l’organisation de la gendarmerie en Belgique, avant de prendre la tête de la gendarmerie en Corse.
Le , il est affecté à l’armée d’Helvétie, comme commandant de la garnison de Fribourg, et le , il est rappelé par le ministre de la guerre.